Le NAFCC condamne l’interpellation d’un correspondant étranger à Tunis
Le NAFCC exprime son inquiétude devant la pression grandissante à laquelle sont soumis les journalistes étrangers travaillant en Tunisie.
Le dernier incident en date s’est produit dimanche 14 janvier au détriment de Michel Picard, correspondant français de RFI, qui couvrait la visite du président tunisien Béji Caïd Essebsi à Ettadhamen, à l’ouest de Tunis.
Read MoreLe NAFCC déplore la convocation d’un correspondant étranger
Le NAFCC déplore la convocation d’un correspondant étranger dans les bureaux de la Garde Nationale au Bardo.
Novembre 2017
Mathieu Galtier: De Sebha à Tripoli, des migrants marchandises, Libération, 30 novembre 2017:
« En Libye, point de passage principal vers l’Europe, les réfugiés sont parfois employés dans des conditions de travail qui s’apparentent à de l’esclavage. »
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Membres de la NAFCC
Farida Ayari
Maryline Dumas-Indépendante
Mathieu Galtier-Indépendant
Sarah Mersch
Guillaume Klein-AFP
Ines Belaiba-AFP
Frederic Bobin-Le Monde
Thessa Lagemann
Jihane Bergaoui
Fanny Hargestam
Annette Steinich
Sarah Souli
Ricard Gonzalez-El Pais
Sandro Lutyens-France 24
Carlotta Gall-New York Times
Farah Samti-New York Times
Conor McCormick-Cavanagh-Indépendant
Yasmine Ryan-Indépendante
Nazanine Moshiri-Al Jazeera
Michaelle Gagnet
Justine Fontaine-Indépendante/Radio France
Nancy Porsia
Read MoreAvril 2016
Justine Fontaine: En Tunisie, pour parler des vagues d’immolations, France Inter, 26 avril 2016:
« Le 17 décembre 2010, un jeune vendeur ambulant, Mohammed Bouazizi, mettait le feu à son corps. Son acte est considéré comme l’un des déclencheurs de la révolution tunisienne. Une vague d’immolations par le feu a eu lieu dans les semaines qui ont suivi son geste. Depuis, chaque année, les tentatives d’immolation connaissent un pic pendant le mois de janvier et la fin de l’hiver en Tunisie. Le seul service du pays spécialisé dans la prise en charge des grands brûlés se trouve en banlieue de Tunis, à l’hôpital de Ben Arous. Justine Fontaine, Bonsoir ! Vous vous y êtes rendue. Depuis la révolution, le personnel du service est débordé. »