Ager Oueslati: Tunisie. Accouchements à hauts risques, Le courrier de l’Atlas, 22 janvier 2018:
“En Tunisie, le problème de la couverture sociale et les déficiences du système de santé touchent en premier lieu les femmes. Dans certaines régions excentrées, le manque de maternités se révèle criant. Reportage”
Perrine Massy: Tunisie: Prefabulous, des cubes modulables en bois pour révolutionner l’habitat, RFI, 21 janvier 2018:
“Au paradis de la brique et du béton, l’architecte Malik Nouira a décidé de se lancer dans la construction de maisons préfabriquées en bois. Des modules standardisés, livrés clés en main et qui peuvent être installés sur tous types de terrains. Une première en Tunisie. Malik Nouira a ainsi fondé sa startup, Prefabulous, en 2016, et a pu démarrer son activité en décembre 2017, après avoir participé à un incubateur de startup et avoir gagné un concours d’entrepreneuriat.”
Mathieu Galtier: L’identité queer sort de l’ombre en Tunisie, Libération, 17 janvier 2018:
“A Tunis, le premier festival du film LGBT en Afrique du nord permet découvrir des films en provenance du Liban, d’Egypte, d’Afrique du Sud, du Cap Vert, du Lesotho…”
Sarah Mersch: Tunesien: Kampf um den öffentlichen Raum, Gender Matters, January 2018:
“Im Jahr 2011 war Tunesien Ausgangspunkt des „Arabischen Frühlings“. Als einziges Land der Region hat der politische Umsturz hier in Ansätzen demokratische Früchte getragen. Auch bei den Frauenrechten geht es voran. Seit seiner Unabhängigkeit 1956 gilt Tunesien als regionaler Vorreiter in Sachen Gleichberechtigung. Nun hat das Parlament mit großer Mehr- heit eine umfassende Strafrechtsänderung verabschiedet, um Frauen besser vor Gewalt zu schützen, und der Justizminister hat eine Anordnung aus den 1970er Jahren aufgehoben, die es Tunesierinnen de facto untersagte, Nicht- Muslime zu heiraten. Ein Fortschritt, sicher. Doch viele andere Diskrimi- nierungen müssen noch angegangen werden.”
Mathieu Galtier: En Tunisie, les manifestations s’essoufflent, “pas la colère”, Libération, 14 janvier 2018:
“Sept ans après la chute du régime de Ben Ali et en pleine contestation contre l’austérité, l’opposition a organisé dimanche une mobilisation assez peu suivie. La veille, le gouvernement avait tenté de calmer la protestation avec l’annonce d’une série de mesures sociales.”
Perrine Massy: Manifestations en Tunisie: qui est derrière la campagne «Fech Nestannew»?, RFI, 12 janvier 2018:
“En quelques jours, la campagne « Fech Nestannew » est parvenue à mobiliser dans toutes les régions du pays contre la hausse des prix et la nouvelle loi de Finances. Mais qui est à l’origine de cette campagne ? Et que veulent ses militants ?”
Perrine Massy: En Tunisie, un pain allégé en sel, RFI, 11 janvier 2018:
“La Tunisie est l’un des plus gros consommateurs de pain au monde et aussi l’un des pays où le pain est le plus salé. Une situation problématique quand on sait que l’excès de consommation de sel cause des problèmes cardiovasculaires tels que l’hypertension. Pour y remédier, la Société tunisienne de cardiologie et de chirurgie cardio-vasculaire a donc eu l’idée de lancer un pain allégé en sel.”
Perrine Massy: Tunisie: le classement du pays comme paradis fiscal par l’UE fait toujours polémique, RFI, 6 janvier 2018:
“Le 5 décembre dernier, l’Union européenne publiait une liste noire des paradis fiscaux, sur laquelle figurait la Tunisie. Ce classement avait provoqué l’indignation à Tunis, et Pierre Moscovici, le commissaire européen aux Affaires économiques, avait rapidement expliqué qu’il avait été établi en raison d’engagements trop tardifs et incomplets de la part de la Tunisie, et dit souhaiter que le pays puisse sortir rapidement de cette liste. En attendant, cette situation est plutôt mal vécue par les autorités tunisiennes, et les acteurs économiques du pays. Perrine Massy est allé à leur rencontre.”
Sarah Mersch: Dann wenigstens ehrenhaft ertrinken, Zeit Online, 2 janvier 2018:
“Zu alte Politiker, korrupte Behörden: Sieben Jahre nach der Revolution ist Tunesien ein Ort der Agonie. Viele Junge hält nichts im Land. Nicht mal die Angst vor dem Tod.”